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Quelques photos supplémentaires...

 

banc 6

 

beach flag 6 et public

 

public 8

 

ensemble

 

tableau

 

mains aide soignante 2

 

divers

 

départ 3

 

 

 

 

smiley

 

Les Perles de Soins Chez Soi

Je dois d’abord avoir l’autorisation de « Kitekat » (à la place de Titeca).

Mon mari a un pince-main-cœur.

Je dois annuler le passage de l’aide-ménagère car je dois faire un ketchup à l’hôpital.

Mon enfant souffre d’une brocolite.

J’habite rue de la Hulotte , comme culotte mais avec un H

Est-ce que vous êtes VIPO ? Non je suis ouvrier

Un patient demande si nous avons des ostéopathes à domicile car il souffre d’un bungalow.

Une patiente demande qu’un dentiste passe la voir car elle a tellement mal qu’elle ne peut plus mâcher que du potage.

J’ai déjà une infirmière pour les bas de contorsion.

Pendant 10 jours, ma femme doit avoir des infusions de Clexane.

Un de nos patients dit souffrir d’une conclusion intestinale.

Faudra-t-il enlever les points de suture ? Non pas besoin, on m’a mis des strepsils (steri-strips).

Un papa appelle pour le pansement de son épouse qui vient d’accoucher par césarienne. Il précise que son fils se présentait par le fauteuil.

 

Quand j’appelle, je tombe chez vous. Oui c’est bien notre numéro. Non VOO l’opérateur !

 
TÉMOIGNAGE D'OLIVIER, infirmier à domicile indépendant
 
 
"Il y a une quinzaine d’années, j’entamais une licence en gestion hospitalière.
Il ne m’a pas fallu longtemps pour me rendre compte que gérer du personnel et s'occuper des finances derrière un bureau n’allait pas m’épanouir...

Alors, que faire ? Je sortais des 2 Alice et je repensais à mon stage de soins à domicile qui m’avait tant plu par les liens tissés avec les patients au fil des visites. 
Mon père menait une carrière d’indépendant en tant que prothésiste dentaire, alors pourquoi ne pas me lancer dans le domicile à mon compte ?
 
Et c’est là que SCS intervient !
Tout s’est tellement vite mis en place que cela m'a paru comme une évidence !
 
Je me rappelle la première patiente envoyée par SCS.
Ça commençait mal, c'était la catastrophe : une mamie tellement exigeante, une toilette simple au lavabo qui me prenait tout de même 40 minutes, au bout desquelles la patiente ne semblait pas satisfaite de mes soins.
Je commençais pourtant ma carrière et j’étais pleinement motivé !

Je retéléphonai alors à l’ASBL en leur expliquant la situation et je me rappelle très bien avoir dit les mots « je souhaiterais vraiment commencer le domicile dans de meilleures conditions... »
J’ai été entendu, heureusement sans jugement, le soin fut confié à un autre prestataire et la suite fut 15 belles années de collaboration avec les adorables accueillantes de SCS....

Je me rends compte aujourd’hui que je leur dois une fière chandelle, SCS m’a permis d’avoir une patientèle complète en quelques mois.
 
J’ai adoré ce travail à domicile, j’ai fait des rencontres extraordinaires et tellement enrichissantes sur le plan humain par la diversité sociale rencontrée...

Une bonne capacité d'adaptation est donc indispensable dans ce métier.
Ce que j’aimais par-dessus tout, c'était d'apprendre à connaître les patients dans leur milieu, de m’intéresser à de vieilles photos encadrées, à des objets qui leur étaient chers... ceux qui me lisent et qui font ce métier me comprendront !
 
Aujourd’hui, ma carrière d’indépendant est derrière moi et j’ai la chance de m’épanouir dans un chemin plus artistique (pour les curieux, n’hésitez pas à consulter ma page https://www.instagram.com/olivier.hanneuse/ :-)"